Canal+ débute 3 nouvelles séries

Canal+ produit des séries originales dès 1988 avec le début de «Sueurs Froides» qui est une anthologie d’histoires policières où se mêlent suspense et humour noir.

La plus part de ces séries ont eu une bonne acceptation par la communauté française, comme est le cas du «Bureau des Legends» en 2015, qui se remonte au sein de la Direction Générale de la Sécurité Extérieure; un département appelé le Bureau Des Légendes forme et pilote à distance les agents les plus importants des services de renseignements français: Les clandestins.

De même manière, il existe d’autres qu’ont eu l’opportunité d’être télévisées à niveau international, en ayant une audience plus qu’acceptable; comme est la série diffusée en 2016 appelée «The Young Pope» qui raconte le début du règne de Pie XIII. Un jeune pape complexe et contradictoire, d’un conservatisme pouvant flirter avec l’obscurantisme le plus archaïque, et pourtant éperdu de compassion envers les plus pauvres et les plus faibles.

Ce février 2017, Canal Plus nous surprendre avec le premier de 3 nouvelles séries: la première s’appelle «Guyane» qui se déroule comme son nom le laisse supposer dans la région française éponyme: Le Western amazonien. La série met en scène un jeune étudiant prénommé Vincent Ogier, passionné de géologie, débarque en Guyane pour effectuer un stage chez Cayenor, une société d’exploitation aurifère. Aventureux, il va prendre le risque de s’associer à Antoine Serra, un mafieux local, petit ‘parrain de l’or’, après avoir découvert l’existence d’une mine abandonnée.

Guyane a été lancée le 1 février à grands renforts de spots télé, d’affiches publicitaires en 4×3, d’interviews d’acteurs, de coulisses du tournage et allant même jusqu’à habiller aux couleurs de la Guyane la station de métro Opéra, à Paris. Elle comprend d’huit épisodes qui n’ont pas laissé personne indifférent. D’accord le journal «Le Monde» L’idée est astucieuse de moderniser un genre qu’on voudrait croire désuet, incompatible avec le XXIe siècle et qui inspire d’abord de la nostalgie sinon de la compassion. Tous les archétypes du western sont réunis et transposés dans un environnement qu’on n’imaginait pas. Et selon l’hebdomadaire «L’Express» Ce récit initiatique au cœur du mal met en scène le basculement moral de son protagoniste, sans jamais avoir recours à la psychologie. On pense aux romans de Joseph Conrad, pour l’atmosphère exotique délétère qui s’en dégage, mais aussi aux grands westerns hollywoodiens, pour la violence explosive qui peut surgir à chaque instant. Avec Guyane, Canal+ tient l’une de ses créations les plus originales. 

Néanmoins, il existe d’autres qui n’ont pas été convaincus, comme dit le quotidien régional français «Ouest-France»: les personnages manquent de densité et inspirent peu d’empathie. On appréhende rapidement leurs psychologies et ce qui les guide. La série surfe sur l’action et l’aventure, mais ça ne suffit pas. On se lasse vite des attaques, fusillades, guet-apens et autres chausse-trappes, surtout si l’on est ni mordu de westerns ni passionné de films d’aventure».

 

La deuxième série est la «Barbarella» qui s’agit d’une bombe sexuelle qu’est chargée de contrecarrer les plans d’un fabricant d’armes diabolique. Et la troisième s’appelle «Vinzia» dont explorera le monde de la mafia italo-française de la région Rhône-Alpes. Par rapport à ces dernières séries, il n’y a pas de date de premier encore.

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