Résumé concernant la prochaine « rentrée des classes »

Concernant la reprise obligatoire scolaire

Alors que les enfants se préparent à rejoindre les rangs scolaires, d’autres renseignements sont spécifiés. Cela concerne principalement les nouvelles normes sanitaires plus souples, et également les mesures prises par le gouvernement afin que tous les écoliers reprennent le chemin de l’école normalement. Voici les principales informations en lien avec le journal La Dépêche.

Le fait de faire revenir les écoliers dans les établissements scolaires à deux semaines des grandes vacances est considéré comme « inutile » pour certains, mais pour le gouvernement cette mesure est essentielle. Cela permet entres autres, de rappeler que l’école est obligatoire crise sanitaire ou non et surtout cela pourrait préparer à la future rentrée des classes, prévue pour septembre prochain.

Entre sensibilisation et reprise progressive des classes, les écoliers en fonction de leur âge et de leur niveau scolaire, pourront ainsi « de se remettre dans le bain », après plus de 2 mois sans école. Pour certains enfants, c’est également l’opportunité d’avoir un suivi et de faire le point sur le niveau de chacun. Sauf que cela parait compliqué pour le corps professoral qui ne peut pas évaluer le niveau scolaire de chacun de ses élèves en 15 jours.

Les conditions de la reprise scolaire

Pour commencer, les élèves et les professeurs conserveront tous une distance d’un mètre entre eux, de façon générale. Cela veut dire que les salles de classes seront préparées pour permettre cette mesure de distanciation entre chaque individu. Jusque-là rien de bien nouveau. Mais il faut savoir qu’au sein des écoles maternelles, la distanciation physique sera maintenue uniquement dans les salles de classe, lorsque c’est possible, autrement dit en recréation ou au sein de la cantine, pas de distance minimale imposée.

Concernant les enseignants, ils ne seront plus obligés de faire classe avec un masque sur le visage, mais ils devront néanmoins se tenir à une distance d’un mètre des élèves. Concernant les écoles primaires et les collèges, la distance sociale sera maintenue entre élèves et professeurs, mais elle devra aussi être mise en place au sein de certains rassemblements entre élèves, provenant de groupes différents. Concernant les activités sportives, pas de distance sociale imposée, c’est pourquoi ces activités seront fortement privilégiées à partir du 22 juin prochain.

Concernant les lycées, ouverts pour les épreuves du baccalauréat, il faut savoir que dans ce cas, la distance minimale d’un mètre entre chaque usager, au sein des espaces clos et en extérieur doit se faire obligatoirement. Concernant les cours de récréation, il faudra respecter les gestes barrière et s’organiser pour que les pauses se fassent de préférence par classe, évitant ainsi tout regroupement massif.

Concernant le port du masque pour les enseignants, ils ne seront plus obligatoires en classe, que ce soit pour les maternelles, les primaires, les collèges et les lycées, à condition de se tenir à un mètre de distance. Si cette distance ne peut être effectuée, dans ce cas le port du masque pour le visage sera imposé. Il est donc essentiel de venir avec et d’éviter de le mettre dans sa poche, celui-ci doit de préférence être isolé et suspendu.

Il est déconseillé de mettre son masque facial dans sa poche

Les parents devront quant à eux, prendre la température de leurs enfants chaque jour avant de se rendre à l’école. Dans le cas où l’enfant aurait une fièvre (à partir de 38 degrés ou plus) l’enfant devra rester impérativement à la maison. C’est le même chose si des symptômes éventuels sont ressentis. Mais au fait que pensent les parents de ce retour en classe ?

Certains ne sont pas rassurés, d’autres n’y voient pas vraiment d’inconvénients surtout que certains enfants sont déjà en classe de façon présentielle, depuis le 11 mai 2020. Pour les parents qui ne souhaitent pas mettre leurs enfants à l’école, il faut savoir qu’ils s’exposent en principe à des poursuites pénales. Selon La Dépêche, le risque est de se voir condamné à deux ans de prison et à une amende de 30.000 euros.

Mais les directeurs d’école ne vont pas se mettre à pourchasser les parents à deux semaines des vacances, en sachant que la situation est très particulière. C’est pourquoi, d’ici la semaine prochaine les élèves se rendront à l’école et si vous souhaitez lire l’article de La Dépêche en intégralité, cliquez juste ici.

 

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