On se croirait en plein film de science-fiction et pourtant, depuis plusieurs années on évoque le thème du médicament connecté. Mais qu’est-ce que c’est ? Est-ce bien ou faut-il s’en méfier ? Avec autant de questionnements, nous aussi on s’est intéressé à cela et on vous propose sans plus tarder des explications et pour ce faire, nous allons nous appuyer sur un récent article paru dans le magazine spécialisé Sciences & Vie (version numérique).
Pour commencer, répondons à la question qui nous brûle les lèvres ; qu’est-ce que c’est le médicament connecté ? Il s’agirait d’un médicament mis au point, il y a déjà quelque temps et le médicament en question est doté d’un « capteur d’ingestion ». Ce capteur aurait la faculté d’effectuer un suivi auprès de son patient, et surtout de savoir si le patient suit bien son traitement. On peut même vous dire que ce type de médication est déjà en place aux États-Unis.
D’après nos informations, depuis 2017 ce type de médicament serait ainsi déjà adopté notamment dans le domaine psychiatrique, permettant de s’assurer que le patient prend bien ses cachets. Et toujours d’après Sciences & Vie, certains laboratoires pharmaceutiques sont en train de mettre au point d’autres médicaments, avec ce petit capteur pour d’autres pathologies. D’accord, mais au fait autre question qui apparaît, de quoi se compose ce fameux capteur ?
Concrètement, le capteur est un peu comme une micropuce en fait. Lorsque le patient ingère le médicament connecté, les sucs gastriques de l’estomac activeraient cette micropuce (de la taille d’un grain de sable) et un signal électronique serait ainsi émis. Le patient est équipé au préalable d’un patch placé sur le ventre et ce dispositif permet d’indiquer au médecin à quelle heure a été ingéré le médicament, et le jour exact de la prise.
La composition de la puce reposerait sur le cuivre et le magnésium.
Mais ce n’est pas fini, puisque ces données peuvent être conservées et partagées depuis une application mobile. Même le patient a accès à ces informations et au besoin, il pourrait ainsi les transmettre plus aisément à son médecin. L’objectif est tout simplement d’assurer un meilleur suivi médical, pour de meilleurs résultats. Pour autant cela pose de nombreuses questions, bien que le principe soit génial mais à terme est-ce viable pour nos sociétés ?
Il est trop tôt pour en dire davantage, mais voici une information provenant de la FDA, autrement dit de la part de la Food and Drug Administration (aux États-Unis) qui reconnaît que le but est d’assurer une meilleure transparence sur la prise, bien qu’aucune étude ne le prouve actuellement. On peut aussi se demander si d’un point de vue éthique ce procédé serait un problème ? De plus, bien que le capteur soit rejeté naturellement par le corps, est-ce une nouvelle forme de pollution ? Est-ce un nouvel outil pour mieux nous contrôler ?
On peut vous dire que des pays comme la France pourraient ne pas souhaiter mettre en place ce type de médication 2.0. Pourquoi ? En 2014, un objet similaire connecté concernant la surveillance de l’apnée du sommeil avait été mis sur le marché et le Conseil d’État avait « débouté » ce dispositif. Le but était de préserver les libertés individuelles, conserver aussi le secret professionnel et déontologique, concernant le corps médical et aussi parce que c’était assez onéreux.
Pourtant cela pourrait permettre de faire des économies auprès de la Sécurité Sociale, c’est vrai mais c’est l’éthique qui pose problème en France. Et la crise sanitaire pourrait faire changer les choses ? Oui c’est une possibilité à envisager, mais par manque d’informations et aussi pour ne pas spéculer, on ne peut pas en tirer de conclusions hâtives sur le dispositif de médication connectée. En tout cas il est intéressant de voir comment le domaine en lien avec la santé évolue chaque jour et comment la technologie s’intègre un peu plus chaque jour.
Retrouvez l’article de Sciences & Vie juste ici.
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