C’est avec tristesse que nous allons aborder aujourd’hui un article qui a pour thème l’agonie d’une baleine au sein du sanctuaire marin Pelagos. Un rorqual commun a été victime d’une amputation de la nageoire caudale et c’est avec effroi que depuis plusieurs semaines cette baleine lutte pour sa survie. Sauf que son état est jugé « critique » et l’Organisation Non Gouvernementale (ONG) WWF lance l’alerte.
Les propos relayés s’inspirent d’un article paru dans le journal Le Point.
Pour résumer les faits, au sein du sanctuaire Pelagos qui se situe en pleine mer Méditerranée, un rorqual commun est très mal en point. La cause ? L’Homme ! En effet, ce pauvre animal a malheureusement eu la nageoire caudale amputée à cause d’un bateau de pêche et depuis, la baleine nommée « Fluker » erre et agonise lentement, très lentement. Cela n’a pas échappé à l’ONG WWF qui souhaite sensibiliser sur l’impact des activités humaines sur la faune et la flore (marine dans ce cas précis).
Sans pouvoir le confirmer, on imagine que l’amputation résulte soit d’une collision avec un bateau, ou bien d’un « enchevêtrement » dans un filet de pêche. Qu’importe la raison, la baleine a été vue à de nombreuses reprises au sein de Pelagos et on constate un état de maigreur qui fait peur à voir. Il est évident que sans nageoire caudale, le cétacé a beaucoup de difficulté à se déplacer et sa survie est clairement menacée. Rappelons que le rorqual commun est une espèce de baleine impressionnante et aussi la plus imposante au monde, derrière la baleine bleue (le plus gros animal vivant sur Terre).
Les intervenants de la WWF ont été sur place, sans trop s’approcher non plus de l’animal déjà affaibli et dénoncent clairement les conditions actuelles de pêche. Si la maigreur du cétacé est très remarquée, cela s’explique par le fait que pour se nourrir, la baleine doit se propulser en ouvrant sa gueule, afin de récolter le krill. Sauf que sans cette nageoire caudale, l’animal ne peut pas se nourrir correctement et cela fait des semaines que le cétacé lutte pour survivre. Il est constaté que « Fluker » peut tout de même plonger, afin de trouver sa nourriture mais sûrement pas en quantité suffisante.
C’est ce qui est le plus triste car ce cas précis n’est qu’un cas parmi tant d’autres et très souvent, de nombreux cétacés succombent à leurs blessures et s’échouent sur les plages. C’est d’ailleurs ce qui étonne assez les biologistes, car la baleine est dans un état critique et ses chances de survie sont « très faibles ». Mais pour le moment le cétacé lutte pour vivre et la WWf souhaite que le cas de « Fluker » serve d’exemple ! C’est pour cela qu’une « zone maritime dite vulnérable » doit être mise en place. Cela permettrait notamment aux bateaux de devoir réduire leur vitesse.
Bien entendu cela ne pourra pas faire des miracles, mais peut-être que cela pourrait sauver plusieurs animaux qui sont de plus en plus menacés. Rappelons que sur le sujet, la WWF constate que chaque année 10 rorquals au minimum (40 aux maximum) sont tués à cause des collisions par bateau. Il serait peut-être temps de mettre en place et sérieusement des « plans anticollision » et également lutter pour que les filets dits « fantômes » ne soient plus autorisés. « Fluker » n’est qu’une victime de plus et on espère que son triste exemple puisse faire prendre conscience qu’à terme, ces superbes créatures disparaitront si rien ne change.
Enfin, sachez que le nom de « Fluker » a été donné à cette baleine car en anglais « nageoire caudale » se dit « fluke » et donc, « Fluker » lui a été attribué. Rappelons également que la WWF est une organisation qui depuis les années 1960, se dédie à la protection de l’environnement, sensibilise au développement durable et s’engage également dans la protection de la biodiversité. Si vous voulez accéder à l’article paru dans Le Point, veuillez cliquer ici et si vous en avez envie, n’hésitez pas à nous faire part de votre opinion sur le sujet.
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